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Parution : 1er septembre 2025

La tragédie de l’Homme, c’est de croire un jour qu’il est exceptionnel. J’ai dû l’entendre ou bien le lire quelque part. […] J’ai longuement contemplé ce bureau ce matin. Je crois que j’ai conscience qu’il pleut. J’ai cru l’avoir déjà vu des milliers de fois. Collé contre ce mur, il invite celui qui s’y assoit à regarder le néant dans une peinture murale sans vie. Il invite la personne à ne rien ressentir, ne rien penser. Il a certainement une bonne raison d’être à cet endroit précis. Je me rappelle maintenant. Sous la pile de feuilles et de prospectus déchirés, il y a un ordinateur. Il me connecte au monde que j’aime, il s’ouvre sur une page blanche. Je la regarde, je crois que je pense, donc je suis ; j’existe à travers ces lignes maladives.

La tragédie de l’Homme, c’est de croire un jour qu’il est exceptionnel. J’ai dû l’entendre ou bien le lire quelque part. […] J’ai longuement contemplé ce bureau ce matin. Je crois que j’ai conscience qu’il pleut. J’ai cru l’avoir déjà vu des milliers de fois. Collé contre ce mur, il invite celui qui s’y assoit à regarder le néant dans une peinture murale sans vie. Il invite la personne à ne rien ressentir, ne rien penser. Il a certainement une bonne raison d’être à cet endroit précis. Je me rappelle maintenant. Sous la pile de feuilles et de prospectus déchirés, il y a un ordinateur. Il me connecte au monde que j’aime, il s’ouvre sur une page blanche. Je la regarde, je crois que je pense, donc je suis ; j’existe à travers ces lignes maladives.

Deydéssée nous ouvre les portes de son univers chaotique mais bigrement profond à travers une la dystopie d’une vie à travers les murs. Un roman événement de 2025 que l’auteur qualifie de « dystopie spaghetti », redonnant ses lettres de noblesse à la littérature moderne.

Synopsis : La tragédie de l’Homme, c’est de croire un jour qu’il est exceptionnel. J’ai dû l’entendre ou bien le lire quelque part. […]
J’ai longuement contemplé ce bureau ce matin. Je crois que j’ai conscience qu’il pleut. J’ai cru l’avoir déjà vu des milliers de fois. Collé contre ce mur, il invite celui qui s’y assoit à regarder le néant dans une peinture murale sans vie. Il invite la personne à ne rien ressentir, ne rien penser. Il a certainement une bonne raison d’être à cet endroit précis. Je me rappelle maintenant. Sous la pile de feuilles et de prospectus déchirés, il y a un ordinateur. Il me connecte au monde que j’aime, il s’ouvre sur une page blanche. Je la regarde, je crois que je pense, donc je suis ; j’existe à travers ces lignes maladives.

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